Par le bois du Djinn où s’entasse de l’effroiParle ! Bois du gin ou cent tasses de lait froid - Alphonse Allais
Il (Georges Perros) arrivait le mardi matin, ébouriffé de vent et de froid sur sa moto bleue et rouillée. Voûté, dans un caban marine, la pipe à la bouche ou dans sa main. Il vidait une sacoche de livres sur la table. Et c’était la vie. - Jean-Marie Gibbal